• Black désigne en anglais la couleur noire, ce terme peut être associé à des dizaines d'autres termes en tant qu'adjectif notamment: le black métal, back in black (AC/DC), blackned (Métallica), blackle (http://fr.blackle.com/ Moteur de recherche google en version économe), un black (un homme noir), black beauty (je ne sais plus si c'est le nom exacte de cette série des années 80... u_u), black ice (AC/DC), Black Album (Métallica), Black Sabbath, Men in black, Black Symphony (Within Temptation), une black liste, American Black Box (Dantec), les All Blacks <3, un black sheep, the Black Panthers, "Black, Blanc, Beur", Black & Decker, Black Jack, Black and White et j'en passe...

    En fait je voulais juste vous dire: Changez votre manière de voir les choses.
    http://fr.blackle.com/
    http://www.blackle.com/fr/about/


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  • Dans tes yeux bleus azur, j'ai découvert la passion, reçu l'amour le plus éternel; une fois même j'ai cru toucher ton âme en te disant "je t'aime", les larmes aux yeux, sur la terrasse d'un petit restaurant au crépuscule.
    Main dans la main, yeux dans les yeux, corps à corps à chaque secondes passées ensemble, tu es devenue ma déesse, ma bien-faitrice, plus qu'une âme soeur nous étions devenus un à l'instant où je suis tombé dans le lagon formé par tes prunelles.
    Ce soir là tu as répondu à l'élan de mon coeur: "Je t'aime, moi aussi.", immergé dans la pureté de ton âme, j'ai pu y lire, à cet instant merveilleux, à quel point tu disais vrai, à quel point mon amour était réciproque.
    J'ai placé toute ma confiance en toi, toi qui m'a fait découvrir la vie, vie sereine et heureuse: je te remercie de m'avoir fait ce cadeau.



    Un jour ce délicieux prisme vola en éclat, lorsque j'ai appris, presque par erreur, que je n'étais pas le seul à parcourir tes formes et à contempler ton âme. Tu m'as rendu très triste tu sais, j'ai appris ce même jour, qu'en plus de ne pas être le seul, j'étais deuxième depuis le début, doublé par une femme aussi sublime que toi. Jusqu'au bout ton regard aquatique me rendit mon amour, jusqu'au bout tu as nié, menti.
    Mon amour perdu je te regrette, tout autant que de m'être absorbé aussi longtemps dans le bleu de tes yeux, doux voile qui cachait à ma vue une autre part de toi, une autre vie. Tu sais j'aurais pu comprendre et accepter sans problème que tu continues à la voir, tu n'avais qu'à demander, et même à l'assaut de la lune je serai parti.

    Tu es restée prisonnière de ton mensonge, restes-y. J'ai choisi de rejoindre le bleu infini et éternel du ciel, tu ne m'as pas ôté le goût pour cette couleur, juste l'envie de vivre...

     

     

    [Je l'aime et je ne l'aime pas ce texte... Si larmoyant... Et si bleu...]


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  • Oses me regarder en face et me dire la vérité,
    Avoues tes péchés à la Sainte mère
    Puisque tu ne peux te racheter par la prière:
    Expies celle qui te détient: la vanité.

    Redeviens mien, mon enfant,
    Je ne saurai te punir
    Etre incandescent
    Puisque tu es notre avenir.

    Dans les eaux troubles du vice tu avances
    Sans peur, si petit et fragile
    Tu contemples toutes les déviances,
    Sans un regard pour les singes agiles.




    [Il faut que j'arrête la poésie... J'écris vraiment moche...
    Le Parfum m'a rempli la tête de voluptés et pourtant ce n'est que le film, alors que le livre fut tellement plus fort...]


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  • "Je suis tombée ici par hasard, j'ai atterri sur un lit de plumes noires, le ciel était rouge sombre, une douceur bienfaisante me recouvrit de son ombre..."

    En lieu et place de cette rivière que je connais depuis l'enfance, s'écoule une liqueur chaude et sucrée aux vapeurs alcoolisées. La vieille cabane en bois, perchée en haut d'un chêne sans âge, est toujours là, mais ce n'est plus elle. Le bois est poli, le sol recouvert de mousse, même l'échelle cassée est redevenue entière et donne envie d'y grimper.
    Des fleurs vert absinthe étalent leur senteur et leur beauté à tout va, tâpissant les buissons, transformant l'herbe en tapis, devant la forêt que j'aimais parcourir dans mes jeunes années.

    Quel est dont ce maléfice? Je me revois enfant galopant dans ce vaste jardin, cette sensation de douceur toujours plus pressante, toujours plus sensuelle, toujours plus douce. Le moindre objet a été transformé en l'amour le plus doux, je flotte tel un fantôme du passé dans le ventre chaud d'une mère. L'univers est une brume acidulée, je suis le centre de ces préoccupations, je suis son enfant...


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  • pff

    J'ai pas envie d'écrire, et pourtant j'ai l'inspiration...


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