• Mais qu'est-ce que je fous l'été? Mouais je sais, vous avez d'autres préoccupations, mais euh jsuis chez moi hein...

    Ce que j'aime dans le cinéma, c'est qu'en l'espace d'une ou 2 heures (attention quand le film est bon uniquement), vous êtes mort... Enfin pas presque, disons que par procuration vous vivez la vie d'un autre, donc votre vie à vous, vous la laissez sur le trottoir. Tour à tour on s'imagine richissime, bien foutu, valeureux guerrier ou meilleur ami d'un boulet hilarant... Bon c'est bien, mais ça ne rempli pas le frigo.

    Ce qui me gonfle avec le cinéma, c'est que parfois je regarde tel ou tel film en me disant que l'histoire est intéressante, que j'oublierai mes tracas du moment et... surprise, vous avez un tracas de plus: arrêter de pleurer comme une conne devant son pc ET ne pas pleurnicher au moment de ce coucher parce qu'on repense au film en question.
    L'anti-dépresseur souhaité, devient un bad trip innommable, après certains films on ne vit plus pareil....
    Bon c'est bien, mais ça fait mal...
    Récemment:


    Déjà Mort: Pas eu le temps, mais celui-là il me le faut...

    A part ça, le film c'est sensé donner ça:
    "Laure a vingt ans, elle veut quitter l'univers étriqué de cette ville de province où elle vit. Sa chance c'est Andréa, jeune homme pauvre ébloui par sa rencontre avec David et Romain, qui vivent sur les hauteurs de Nice. Pour s'offrir ce qu'ils n'ont jamais eu, pour vivre, ils vont plonger dans le monde du porno."

    Moui j'ai des goûts spéciaux...

    L'étrange histoire de Benjamin Button: J'aime beaucoup ces histoires mi-conte, mi-réalité. J'ai voulu regarder ce film pour une raison: Comment Benjamin allait mourir? C'est vrai quoi, il est né vieux, certes il allait mourir jeune (enfin si on veut), mais dans quel état il allait finir? Maintenant que ma curiosité est satisfaite, je peux affirmer que tout comme le film Big Fish c'est très "longais" à certains moment... Bon avec une pause clope régulière et un brin de ménage au milieu, ça va on s'en sort... Bon là où je m'en sors moins, c'est évidemment à l'instant (très long instant en fait) de cette foutue histoire d'amour...

    Le règne du feu: Aaahhhaaaaaaaaaaahhhhh les dragons nous envahissent!!! Bon c'est un film un peu longais aussi à certains passages, mais c'est assez cohérent, enfin pas la fin... Parce qu'au moment de "l'action finale" les dragons ont du devenir sourds, aveugles et sans nez.... Ca fait sérieusement tâche, mais bon c'est pas un gigantesque film alors passons, et d'ailleurs trouver une autre fin heureuse aurait été très délicat...

    The baysitters: Oui j'ai péché, ce film m'a attirée uniquement à cause de l'affiche... C'est un film moyen, un peu tiré par les cheveux et un peu trop "niais". Je le conseille pour ceux qui ne savent vraiment pas quoi faire pendant 1h30...(ps: les scènes "dénudées" sont hum... in-attirantes au possible...)

    Hooligans: Bon je trouve le concept tiré par les cheveux, mais ça ne le rend que plus plausible... C'est chaud, ya un peu de sang, le degré de violence est pas trop mal, même si Elijah, on le sent perdu parfois...

    99F: D'abord il faut bien s'accrocher pour suivre (bon c'est pas sur-humain non plus hein), ensuite il faut avoir l'esprit large sur notre société de consommation et enfin il faut choisir la fin n°2.

    The Truman show: Hé oui c'est la première fois que je le vois. J'avais loupé un très bon film quand même.... Je regrette un chouillla la fin, mais après tout c'est la meilleure fin qui soit.

    Coco avant Chanel:  J'ai piqué une crise parce que je savais qu'il y allait avoir un drame, et c'était insupportable pour ma pauvre personne... A part ça bon film.

    Et là: je vais m'apprêter à regarder La voix des morts. Sous la pression de mon charmant compagnon... Si je ne reviens pas, c'est sans doute grâce à une crise cardiaque...




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  • J'ai décrété qu'il était temps de débattre et j'ai choisi un sujet particulier. Avant de développer mon propos j'aimerais éditer des règles claires que vous êtes priez de respecter (je vais même les mettre en rouge):

    Petit un: Avant de venir tels des poules attirées par la graine sèche (pour ne pas être vulgaire) et de me traiter de tous les noms et plus particulièrement de fasciste, pro-ana ou je ne sais quelle connerie: Vous êtes priés (tous autant que vous êtes) de LIRE dans son intégralité ce dont je vais parler.

    Petit deux: Le titre est provoquant, cependant je ne l'ai jamais voulu blessant, c'est ce que, je l'espère, vous comprendrez en lisant ce qui suis. D'ailleurs la provocation (c'est bien connu) attire le lecteur, alors si vous êtes là, c'est que vous souffrez d'un syndrôme de curiosité et/ou de voyeurisme aïgu.

    Petit trois:
    Quelque soit ce que vous avez à me dire (en bien ou en mal) j'aimerais que vous gardiez vos propos injurieux pour vous et si vous ne pouvez commenter qu'en état d'agressivité extrême, tâchez de rester respectueux.





    Ce qui m'a fait bondir dernièrement est un chiffre donné par un reportage de tf1. Le sujet était l'émergence d'un nouveau type de restauration rapide aux USA, un restaurant qui prône la chose suivante:

    Lorsque les clients entrent chez eux, ils sont gros et malheureux, quand ils en ressortent ils sont toujours aussi gros mais heureux.
    Bon déjà à ce moment mes tripes avaient effectué une belle rotation dans mon pauvre ventre, ce phénomène fut amplifié à la vue des repas servis ( par de sveltes et ravissantes serveuses en costume d'infirmières d'ailleurs): le plus gros hamburger se nomme "quadruple pontage" (ou quelque chose dans ce goût là) en référence aux problèmes cardiaques provoqués par l'excès de poids. D'après certains calculs, ce hamburger contiendrait environ 8000 kcal, soit de quoi nourrir un homme pour environ 3jours... (et encore, c'est un homme bien nourrit par maman ça)


    C'est au détour de ces joyeusetés que j'ai appris qu'environ 70% de la population américaine était obèse, voir ça après son repas, c'est une épreuve...
    Alors le comportement alimentaire USien et la dangerosité de tels repas ne sont pas le coeur du débat d'aujourd'hui, mais de l'augmentation fulgurante du nombre de personnes obèses que ce soit aux States, qu'en Europe ou ailleurs.

    Je tiens à préciser dès à présent que lorsque je parle de personnes obèses, j'englobe la part "extrème" des personnes en surpoids, je considère qu'il y a une grande différence entre :

    Cette personne, la légende de l'image nous informe qu'elle pèse près de 500kg et est âgée de 40ans.


    Et cette personne, qui est d'ailleurs Miss Surrey 2008. (80kg)



    Nous avons d'un côté un extrème qui devient de plus en plus répandu, certes tous les obèses n'avoisinent pas la demi tonne (et heureusement) mais beaucoup sont au dessus de la barre des 100kg. Je considère qu'une personne ayant un poids normal se situe entre quelqu'un de fin (hors anorexie) pour la limite basse et Miss Surrey ci-dessus pour la limite haute (les taquins me diront que la Miss est en surpoids, certes mais je vais venir à en parler d'handicap, et je pense que la Miss n'en est pas encore à se point).

    Cette tendance au surpoids et surtout à l'obésité, qui commence de plus en plus jeune, est inquiétante. Sans parler de restriction, de maladie, de régime ou autre, je pense, de manière tout à fait générale que l'on peut profiter de la vie et surtout de la nourriture sans pour autant en arriver à des corpulences pareilles (cf photo 1 pour ceux qui chercheraient la petite bête). L'obésité est dangereuse pour celui qui la subit et devient à terme invalidante.

    Toute époque à vu son quotas de personnes plus "rondes" que la moyenne, mais jusqu'à il n'y a pas si longtemps que ça, ces personnes étaient en minorité, une classe composée de 20 élèves en surpoids sur 30 n'existait pas; et surtout ces personnes étaient enrobées mais pas obèses, pas au point d'être incapable de courrir après un ballon, pas au point de vivre pour la nourriture, pas au point de transformer la journée en une orgie gastrique de 24 heures...

    Mon problème, c'est cet excès. Le problème n'est pas d'être gros, le problème est d'être aussi nombreux à l'être et surtout autant. Je sais qu'il y a des maladies qui favorisent l'obésité (mais ces personnes sont des cas à part et ne forment pas la majorité de la population obèse), que la sédentarité, la tendance à la paresse (créée par la société), les aliments toujours plus saturés en lipides et sucres, toujours plus tentants sont des facteurs aggravants; mais j'estime du haut de... mon clavier, que beaucoup de gens obèses ne devraient pas l'être.

    Je suis tolérante et je pense que la racine du problème provient de la société, cependant parfois je m'arrête et je m'interroge. Je me demande où l'on va: Vers une société ou la moitié des gens ne pourront pas travailler à cause de problème de poids? Vers une société où le hype du hype sera de bouger le moins possible? De devenir une sorte de larve qui mange, regarde un écran catodique en machonant et oublie qu'à chaque bouchée c'est un pas de plus vers la tombe?

    Alors j'extrapôle peut-être un peu trop sur la fin, mais cette culture de masse ou l'obésité est banalisée n'est à mon sens pas bonne. Lorsque l'un de vos amis fume, vous lui dites d'arrêter, que cela est mauvais pour sa santé, mais personne ne dit à un obèse de faire quelque chose, de ne pas prendre de dessert ou plus de salade car il risque de finir sa vie à 45ans sous les afres du diabète ou d'un arrêt cardiaque...


    Alors soit je débloque soit j'ai vraiment du mal à suivre le rythme du monde qui m'entoure, et pourtant je ne suis pas vieille encore...

    Is there someone here?


    7 commentaires
  • Ces derniers temps j'ai subi les rafles d'un véritable commandot de moustiques, comme d'habitude, parents et copain en ressortent indemne alors que moi je dois gratter mes pauvres membres.

    Par excès de grâce (il n'y a pas d'autres mots), j'ai décidé de vous faire partager mes trouvailles anti-bzzz... Il va de soit que tout ce qui est pesticide capable de tuer un cheval et autres produits tout fait ne m'intéresse pas. Je cherche des solutions pas cher et facilement faisable, si vous souhaitez m'aider à tester, n'hésitez pas. Vous pouvez faire un rapport détaillé par comm ou message privé, toute avancée pertinente de votre part sera publiée ici.
    Et oui en plus de vous aider dans la lutte anti-bzz je vous offre la gloire et la renommée !! Profitez-en.


    Les tomates et géranium: A mettre en pot à la fenètre de la chambre. Je me demande si une ou deux tomates posées près du lit ne feraient pas tout aussi bien l'affaire...
    La tomate aurait aussi la vertue de guerrir des coups de soleil: appliquez de fines rondelles sur vos blessures solaires, partez faire un somme et vous devriez être tout neuf au réveil.

    Orange et clous de Girofles: Plantez des clous de Girofles dans une orange et posez sur votre table de chevet. La protection serait efficace 5h sur un champ d'action d'un metre. C'est pas énorme mais ça a l'air pas mal.

    Mélanges
    : Ecrasez un demi oignon, 5 clous de Girofles, 3 feuilles de menthe fraîches. Le champ d'action serait de 3 métres, durée 7h ( seul inconvénient d'après le site, l'odeur...assez forte) Je dirais: pourquoi pas, peut-être que cela sent bon après tout...

    Le Basilic en pot: A mettre à la fenètre. Hum on peut aromatiser ses salades avec ça en plus.

    Celui-là je le copie-colle:
    "Consommer de la vitamine B1 ( Thiamine ), nous fait dégager une odeur que LA moustique dérange..
    VB1: présent dans petits pois-fenouil-maîs-orange-ananas-oeufs-tous produits laitiers." Je ne suis pas convaincue... je consomme des quantité industrielles d'oranges et de yaourt et pourtant...

    La citronelle: Serait très efficace, vous trouverez tout sur cette plante pour la planter ici: http://lepetitmondedaudrey.alloforum.com/citronnelle-anti-moustique-naturel-t8798-1.html

    Les huiles essentielles:
    A utiliser dilluées dans une autre huile pour application cutanée: basillic, citronelle etc

    La moustiquaire: C'est tout con hein?

    L'homéophatie:
    Visiblement il existe une cure à faire pendant un mois qui réduit le nombre de piqûres et leur effet irritant. Certaines personnes allergiques verraient leurs réactions allergique très fortement diminuées.

    En ce qui me conserne je pense essayer la tomate près de mon lit ce soir, et si ça ne fonctionne pas, j'investirai dans un pot de basilic... Je prends note de toute expérience concluante ou non !


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  • Le passé permet la construction du présent puis du futur par voie de cause à effet. Sans passé, il n'y a pas d'existence, pas de projection dans le futur, pas de vie à proprement parler.La question qui peut alors se poser serait: Jusqu'à quel point un événement passé peu influencer l'avenir de quelqu'un?
    J'aurai aimé tenter cette expérience (et qui n'aurait pas aimé?) : recommencer à zéro, et changer quelques paramètres. Est-ce que j'en serai arrivé là? Par les même étapes?
    Cela me ramène à mon cours de philo sur la liberté, le fait que l'existence du destin et du déterminisme soient improuvables et laissent donc un doute suffisant pour permettre l'existence de la liberté.

    Comment aurai-je été?
    Heureuse de ma naissance à maintenant, une adolescence équilibrée, des parents aimants, des résultats scolaires qui auraient continué à briller après la 3ème, pas de questions existencielles, le sommeil trouvé à chaque nuit, une santé correcte, des amis nombreux, des cheuveux soyeux, un corps de rêve (j'extrapôle trop là), en bref le bonheur.
    Enfin si le bonheur peut se résumer par :santé, argent, réussite. Même si cela peut aider...
    Il y aurait eu quelques événements tragiques, des ex trop nombreux, un pantalon mal choisi, un peu de stress pour les exams (mais pas trop), quelques prises de becs avec mes congénères pour pimenter le tout...

    Qu'est-ce qui a vraiment fait virer les choses dans l'autre sens?
    Est-ce seulement moi et les quelques pseudos choix que j'ai pu faire? Ou les choix que les autres ont fait pour moi? Ou y a-t-il quelque chose d'encore plus vicieux, grotesque et discret?
    Les choses avancent et le jour revient, même si à chaque ciel bleu convient son bleu propre et même si à chaque ciel correspond son petit lot de nuage plus ou moins noir.

    C'est quand même foutrement idéaliste ce pseudo schéma qui n'explique rien.
    L'homme ne se sent important que lorsqu'il est puissant ou lorsqu'il se plaint. Je suis humaine, devinez de quel côté de la barrière je suis...

    PS: si j'ai fait des fautes, dites le moi: je corrigerais, puis m'excuserais en invoquant un passé trouble qui ne parviendra pas à me dédouaner de mon inattention merdiquement chronique. Pour faire simple je suis fatiguée. Pas vous?


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